L’éco-anxiété et les émotions associées aux situations écologique et sociale s’invitent de plus en plus dans les cabinets de thérapie à travers le vécu des clients et/ou du thérapeute ! 

La solastalgie peut être définie comme la douleur ressentie lorsqu'on prend conscience que l'endroit où l'on réside et/ou qu'on aime est dégradé. C’est « le mal du pays sans exil » ! La solastalgie est vécue au présent alors que l’éco-anxiété, théorisée par Theodore Roszak dès les années 1970, est une peur par anticipation. Peut-on parler de pathologie dans ces situations ou plutôt d’éco-lucidité ?

Comment le thérapeute peut-il s’ouvrir suffisamment à cette thématique pour accueillir le vécu de ses clients ? Jusqu’où le thérapeute peut-il être engagé avec son client ? 

Quels sont les apports possibles à la Gestalt de l’écopsychologie explorant les interrelations profondes entre « la nature » et la psyché humaine ? 

 

Bibliographie

« Pour une écogestalt au service des transitions et du vivant ». Revue Gestalt n°56 (2021).

« Coaching et posture gestaltiste ». Revue Gestalt n° 26 (2004).

« Gestalt et entreprise“. Co-auteur in Le Grand Livre de la Gestalt, Eyrolles (2012).

« Coaching et Gestalt“ in Le livre d‘or du coaching, Eyrolles (2013).